- Indications de dépistage (14)
- Modalités de dépistage : nominatif, non nominatif et anonyme (11)
-
Prélèvements et analyses (56)
- Prélèvements et analyses (56)
- Infection à Chlamydia trachomatis et infection gonococcique : généralités (9)
- Infection à Chlamydia trachomatis et infection gonococcique : sites extra-génitaux (10)
- Lymphogranulomatose vénérienne (5)
- Hépatites – causes d’immunosuppression (1)
- Hépatite B (4)
- Hépatite C (3)
- Infection par le VIH (4)
- Autotest du VIH (19)
- Renseignements à fournir au laboratoire (1)
- Fermer Retour
-
Traitement (19)
- Démarche pré et post-test et counseling (6)
- Rôle de l’infirmière (2)
- Charge virale et transmission sexuelle de l'infection par le VIH (9)
- Prescription infirmière (3)
- Maladies à déclaration obligatoire et signalement (9)
- Autres sujets (7)
Pas systématiquement. L’immunosuppression importante pourrait entraîner un résultat faussement négatif au test de dépistage de certaines ITSS. Elle peut être causée par des agents immunosuppresseurs tel que :
a. Radiothérapies et chimiothérapies contre les cancers, hématologiques et non hématologiques (tumeur solide).
b. Agents biologiques pour le traitement de maladies chroniques inflammatoires ou auto‑immunes.
c. Corticostéroïdes à dose immunosuppressive. La corticothérapie est immunosuppressive lorsque les 3 conditions suivantes sont réunies :
- la corticothérapie est administrée par voie systémique (orale ou intraveineuse);
- la durée est ≥ 2 semaines;
- la dose est de > 20 mg de prednisone par jour (ou l’équivalent).
La corticothérapie est non immunosuppressive lorsque l’une ou l’autre des conditions suivantes s’applique :
- corticothérapie orale à court terme (< 2 semaines);
- corticothérapie administrée chaque jour ou tous les 2 jours, en dose faible ou modérée (< 2 mg/kg/jour de prednisone ou un maximum de 20 mg/jour);
- corticothérapie à doses physiologiques dans un but de remplacement et de maintien chez une personne qui n’a pas d’immunodéficience sous-jacente;
- corticothérapie topique (nasale, bronchique, oculaire ou cutanée);
- infiltrations intra-articulaires ou tendineuses.
d. Médication à la suite de greffes d’organes ou de cellules souches hématopoïétiques.
Sources :
- Guide québécois de dépistage des ITSS, 2019, annexe V Causes d’immunosuppression.