Vaccination

Poursuivre la vaccination - Variole simienne (Mpox)

Depuis mai 2022, une épidémie de variole simienne (Mpox) est en cours dans plusieurs pays du monde où la maladie était auparavant absente. Au Québec, l’éclosion a débuté en mai 2022 et pris fin en février 2023, avec un total de 526 cas confirmés ou probables.

Toutefois, le risque d’acquérir cette infection demeure présent. En effet, la Direction régionale de santé publique de Montréal a signalé, le 17 mars 2023, deux personnes infectées à la suite de contacts sexuels lors de voyage à l’extérieur du Québec. Ces deux personnes n’avaient reçu qu’une dose de vaccin.

La vaccination en préexposition à la variole simienne, incluant l’administration de deux doses, est sécuritaire et efficace pour réduire le risque de contracter l’infection.

L’INSPQ et ses partenaires évaluent l’efficacité vaccinale contre la variole simienne

En 2022, une épidémie de variole simienne a eu lieu dans plusieurs pays, incluant le Canada. Montréal a été l’un des endroits les plus touchés au début de cette épidémie. Au total, 524 cas de variole simienne ont été déclarés dans la province (octobre 2022). Ces cas ont été principalement diagnostiqués chez des hommes cis ou trans, gais, bisexuels ou queer (GBTQ+) et autres hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HARSAH).

 

La forte réduction du nombre de nouveaux cas de variole simienne repose sur la vaccination, mais également sur la mobilisation importante des communautés d’hommes GBTQ+ et HARSAH afin de limiter la transmission du virus. En juin 2022, la Direction régionale de santé publique de Montréal a commencé à offrir une première dose de vaccin contre la variole simienne avec le vaccin Imvamune pour les personnes les plus à risque d’exposition au virus (environ 30 000 doses administrées dans la province). Depuis le 6 octobre 2022, plus de 7 000 secondes doses ont été administrées.

Directive ITSS - Interventions cliniques en période de pandémie de coronavirus COVID-19

Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a mis à jour la directive ITSS : Interventions cliniques en période de pandémie de coronavirus COVID-19 et annexé le document suivant :

Recommandations pour le suivi de l’infection à VIH, la prophylaxie préexposition (PPrE) et la prophylaxie postexposition (PPE) en période de COVID-19.

Ces recommandations résultent d’un mandat confié par la direction de la prévention des ITSS du MSSS au président du Comité consultatif sur le VIH et l’hépatite C du MSSS. Elles résument de l’évolution des connaissances sur l’impact de la COVID-19 chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH), la protection des travailleurs immunosupprimés et la vaccination des personnes immunosupprimées. Elles tiennent compte de la mise à jour des publications…

Semaine mondiale de prévention du VPH 2020

Bien que la Covid-19 occupe toujours la 1ère place des informations cet automne, cette semaine se tient la 4ème semaine mondiale de prévention du VPH. La Fédération des femmes médecins du Canada (FFMC) et la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC) organisent chaque année cette semaine pour la prévention de cette infection. Le site web dédié à cette campagne propose toujours des informations de base sur le VPH, ainsi que des outils/ressources pour propager la discussion autour du VPH et les moyens de s’en protéger.

Journée mondiale contre l’hépatite 2020

Cette année, lors de la Journée mondiale contre l'hépatite, l’OMS rêve d’un avenir collectif sans hépatites. On entend par là de maintenir l’objectif d’élimination de l’hépatite virale comme menace à la santé, d’ici 2030. Pour atteindre collectivement ce but, la campagne s’articule autour des 5 thèmes suivants : PRÉVENIR les infections parmi les nouveau-nés, INTERROMPRE LA TRANSMISSION de la mère à l’enfant, ETRE INCLUSIF, ÉLARGIR l’accès à la prévention et aux traitements et MAINTENIR les services essentiels pour les hépatites, MÊME en période de pandémie de COVID-19.

Couvertures vaccinales contre l’hépatite B et les virus du papillome humain en 4ème année du primaire

Le virus de l’hépatite B (VHB) et les papillomavirus (VPH) se distinguent des autres infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) par l’existence de vaccins efficaces pour éviter à la population de les contracter, et diminuer leur propagation. Au Québec, les vaccins contre l’hépatite B sont donnés aux nourrissons et à l’école alors que la majorité des vaccins contre les VPH sont donnés dans des programmes de vaccination scolaire. Mais la couverture vaccinale en milieu scolaire demeure un enjeu de santé publique au Québec. Les couvertures vaccinales pour le VHB et les VPH en 4e année du primaire sont en dessous des objectifs du Programme national de santé publique 2015-2025 (PNSP), qui sont de 90 % du public ciblé. Aussi, un projet d’évaluation de l’INSPQ a pu constater que les efforts déployés dans les activités vaccinales sont variables d’une région à l’autre. Face à ce constat, le Directeur national de santé publique a émis cinq orientations pour augmenter la couverture vaccinale (CV) dans les programmes scolaires. Leur implantation a été évaluée.

Troisième journée internationale annuelle de sensibilisation au VPH

Le mardi 4 mars prochain se tiendra la troisième journée internationale annuelle de sensibilisation au virus du papillome humain (VPH), pour diffuser les connaissances et la prévention dans le monde entier.

La campagne est « Viral avant Internet. »

Fort de la campagne précédente ayant aussi la viralité des messages internet comme analogie, la campagne de cette année maintien ses 3 thèmes principaux : «S’informer au sujet du VPH», «Le VPH nous concerne tous» et «Ensemble, nous pouvons stopper le VPH».

Viral avant même les chats sur internet, l'oeuf, le parkour et 'dancing sharks', le VPH est viral depuis des milliers d'années. Les messages clés ont été revisités, pour mettre l'accent sur les moyens de s'en protéger. A l’instar de l’an passé, le Canada est un pays partenaires de cette campagne Viral avant Internet. Différents outils ont été lancés mais essentiellement en anglais, notamment un…

Semaine mondiale de prévention du VPH

Lors de la première semaine d’octobre se tenait la semaine mondiale de prévention du VPH. Il s’agit de la 3ème édition de cette semaine visant la prévention de cette infection. Le site web dédié à cette campagne proposait des informations de base sur le VPH, ainsi que des outils pour propager la discussion autour du VPH et les moyens de s’en protéger. Plusieurs évènements ont eu lieu au Canada, dont la diffusion du documentaire Lady Ganga : Nilza’s story. « Ce documentaire gratuit relate l’histoire de Michele Baldwin, ou « Lady Ganga ». Alors qu’elle se battait contre le cancer du col de l’utérus, elle a voyagé en Inde pour faire du surf à pagaie sur la rivière Ganges, inspirant les femmes à travers le monde à passer un test de dépistage contre le cancer…

Deuxième journée internationale annuelle de sensibilisation au VPH

Ce lundi 4 mars se tient la deuxième journée internationale annuelle de sensibilisation au virus du papillome humain (VPH), pour diffuser les connaissances et la prévention dans le monde entier.

La campagne est « Dépistez le plus viral des secrets. »

Ayant pour pilier les 3 thèmes suivant : «S’informer au sujet du VPH», «Le VPH nous concerne tous» et «Ensemble, nous pouvons stopper le VPH», la campagne axe cette année la sensibilisation sous la forme d’une analogie avec la viralité des messages transmis par internet.

Encore plus viral que :

la vidéo d'un panda qui éternue le Mannequin Challenge qui a envahi les réseaux sociaux. la robe bleue/dorée changeant de couleur

Il existe une chose encore plus virale que la plupart des personnes ne connaissent même pas. Cette chose a été partagée des milliards de fois. Mais quel est donc ce phénomène viral ? Il s'agit du VPH. Le VPH concerne tout le monde. La bonne nouvelle : la plupart…

Vaccination contre le virus de l’hépatite B

Dans sa plus récente publication du Perspective Infirmière, l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) propose un article visant à clarifier la pratique vaccinale contre le virus de l’hépatite B.
Ainsi quatre cas cliniques sont présentés et vous permettront de vous questionner à savoir :
1) si la personne doit être dépistée le virus de l’hépatite B, en fonction de ses facteurs de risque,
2) quelles sont les analyses à effectuer, advenant le cas où le dépistage est recommandé et
3) si cette personne doit être vaccinée contre le virus de l’hépatite B.