Veille analytique en santé cognitive, décembre 2020

Pour ce numéro, l’équipe Vieillissement en santé a repéré des interventions individuelles et environnementales favorisant la santé cognitive qui, sans avoir été réalisées dans un contexte de pandémie, pourraient être mises en œuvre en respectant les consignes de distanciation physique et avoir un impact positif sur les inégalités sociales de santé.

Activité physique

Quels sont les effets des outils de monitorage sur la pratique d’activité physique, la mobilité, la qualité de vie et la santé mentale chez les personnes âgées de 60 ans et plus?

Contexte

La pratique régulière d’activité physique aide à maintenir les fonctions physiques et la qualité de vie ainsi qu’à prévenir la dépression et les troubles cognitifs. L’inactivité physique est importante chez les personnes âgées, particulièrement chez celles de 80 ans et plus. Le vieillissement accéléré de la population accentue le besoin de développer des stratégies efficaces pour augmenter la pratique d’activité physique.

La revue de littérature de Oliveira et collab. (2020), conduite dans huit bases de données, a repéré 23 études contrôlées randomisées avec groupe contrôle dont les interventions utilisaient des outils de monitorage pour faciliter la pratique d’activité physique.

Objectifs

Cet article vise à étudier les effets des interventions utilisant des outils de monitorage sur la pratique de l’activité physique, la mobilité, la qualité de vie et la santé mentale des personnes de 60 ans et plus, avec ou sans condition médicale spécifique.

Qu’est-ce qu’on y apprend?

Les articles sélectionnés dans cette revue systématique mesuraient la pratique d’activité physique en calculant le nombre de pas par jour.

L’utilisation des outils de monitorage de l’activité physique à titre motivationnel, c’est-à-dire pour augmenter la pratique d’activité physique chez les personnes aînées en bonne santé et chez celles ayant une condition médicale, est considérée comme prometteuse. Cette étude rapporte que la pratique d’activité physique est plus importante six mois après l’intervention. Le nombre de pas effectués avait augmenté de 1550 par jour. Toutefois, ces effets n’ont pas été observés après 12 et 24 mois. Des effets plus importants ont été observés dans les études dont les interventions étaient de 12 semaines ou plus.

Selon les auteurs, des preuves de force modérée suggèrent que les interventions utilisant des outils de monitorage pourraient aussi aider à améliorer la mobilité.

D’autres études seront nécessaires pour déterminer si les interventions utilisant des outils de monitorage ont un effet sur la qualité de vie et la santé mentale.

Limites

Cette revue de littérature ne compare pas l’utilisation des outils de monitorage (podomètre et accéléromètre) à d’autres types d’interventions motivationnelles (ex. : applications mobiles ou rappels motivationnels). Les études sur la mobilité, la qualité de vie ou la santé mentale qui ne mesuraient pas le nombre de pas par jour n’étaient pas incluses dans la stratégie de recherche. Une seule étude rapportait des données sur douze mois ou plus.

Oliveira JS, Sherrington C, Zheng ERY, Franco MR, Tiedemann A. Effect of interventions using physical activity trackers on physical activity in people aged 60 years and over : a systematic review and meta-analysis.(le lien est externe) Br J Sports Med [en ligne]. 1er oct. 2020 [cité le 4 nov. 2020];54(20):1188‑94.


Est-ce que le verdissement influence la pratique d’activité physique de loisir chez les travailleurs âgés vivant dans un quartier socioéconomiquement défavorisé?

Contexte

Les caractéristiques d’un quartier peuvent affecter la pratique d’activité physique des résidents. L’augmentation de l’urbanisation modifie le niveau de verdissement de certains quartiers. Peu d’études se sont intéressées aux effets du verdissement parallèlement au niveau de défavorisation d’un quartier sur la quantité d’activité physique de loisir pratiquée.

L’étude de Halonen et collab. (2020) a examiné les données objectives sur la pratique d’activité physique de loisir provenant de quatre journées de travail et deux journées chômées. Elles ont été recueillies auprès de 708 participants, âgés de 58 à 64 ans, provenant de l’étude Finnish Retirement and Aging. Les données ont été mesurées à l’aide d’un accéléromètre porté au poignet pendant un minimum de dix heures. Les participants devaient porter l’appareil pendant un minimum d’une journée travaillée et d’une journée chômée pour être considérés dans l’étude.

Les quartiers ont été définis comme étant une superficie de 750 m2 autour de la résidence des participants. L’indice de verdissement des quartiers a été calculé à l’aide du Normalised Difference Vegetation Index et des images satellites de Google Earth Engine. Un index standardisé a été utilisé pour calculer la défavorisation socioéconomique.

Objectifs

Cette étude examine l’association entre la défavorisation socioéconomique, le verdissement et la pratique d’activité physique de loisir, mesurée à l’aide d’un accéléromètre, pendant les journées de travail et les journées chômées.

Qu’est-ce qu’on y apprend?

Jours chômés versus jours de travail

Bien que les résultats soient non significatifs, les résidents d’un quartier socioéconomiquement défavorisé sont moins actifs tandis que ceux habitant dans un quartier plus vert sont plus actifs pendant les jours chômés.

Durant les jours travaillés, aucune différence n’a été observée entre les caractéristiques du quartier (défavorisation socioéconomique et verdissement) et la pratique d’activité physique.

Interaction entre la défavorisation socioéconomique, l’indice de verdure d’un quartier et l’activité physique de loisir

L’étude souligne qu’une différence de deux écarts-types est présente dans les quartiers défavorisés qui ont un indice de verdissement élevé. Cela se traduit par une pratique d’activité physique augmentée de 46 min/jour.

L’interaction est également légèrement plus importante pour l’activité physique d’intensité légère que pour celle d’intensité modérée.

En bref, le verdissement des quartiers socioéconomiquement défavorisés serait associé à l’augmentation de la pratique d’activité physique. Il pourrait réduire les inégalités liées à la pratique d’activité physique. Les interactions entre le niveau de défavorisation, le verdissement et l’activité physique semblent varier selon les jours de la semaine (travaillés ou chômés).

Limites

La population étudiée incluait majoritairement des travailleuses âgées. L’étude est difficilement généralisable à l’ensemble de la population. Cette étude transversale limite la possibilité d’établir des liens de cause à effet. Une autre des limites est l’impossibilité de mesurer l’ensemble des activités physiques pratiquées à l’aide d’un accéléromètre (ex. : vélo et musculation). Le positionnement de l’accéléromètre (ex. : poignet vs hanche) rend la comparaison difficile avec d’autres études.

Halonen JI, Pulakka A, Pentti J, et collab. Cross-sectional associations of neighbourhood socioeconomic disadvantage and greenness with accelerometer-measured leisure-time physical activity in a cohort of ageing workers(le lien est externe)BMJ Open 2020;10/8/e038673.

 

Saine alimentation

Quels sont les facteurs de risque associés à la pauvreté et à l’insécurité alimentaire? Une étude transversale chez les personnes âgées de 55 ans et plus vivant dans des logements sociaux subventionnés en Ontario.

Contexte

L’accélération du vieillissement de la population en Ontario entraînera une augmentation de près de 10 % de la proportion des personnes de 65 ans et plus, entre 2016 et 2041. Le coût de la vie et le coût des aliments augmentent au Canada. Selon Statistique Canada, la proportion de personnes aînées à faible revenu a triplé entre 2000 (4,7 %) et 2017 (12,1 %).

Cette étude transversale a été réalisée dans 14 communautés en Ontario, auprès de 806 personnes âgées de 55 ans et plus vivant dans des logements sociaux pour aînés ou dans des logements sociaux mixtes (familles et aînés). Elle cherche à comprendre les liens entre la pauvreté, l’insécurité alimentaire et les facteurs de risque associés. Le but est d’informer et d’éduquer afin que les décisions politiques réduisent les inégalités en santé chez les populations vulnérables.

Objectifs

Les auteurs ont posé quatre questions :

  • Quels sont les taux estimés de pauvreté et d’insécurité alimentaire autorapportés?
  • Quels sont les facteurs de risque associés à la pauvreté?
  • Quels sont les facteurs de risque associés à l’insécurité alimentaire?
  • Quelles sont les habitudes alimentaires des personnes rapportant de l’insécurité alimentaire

Qu’est-ce qu’on y apprend?

La pauvreté est rapportée par 14,9 % des participants. Ces résultats sont moindres que ce qui était attendu.

Vivre dans un logement social peut augmenter les fonds pour d’autres dépenses puisqu’un maximum de 30 % du revenu est consacré au logement. Cela peut contribuer au sentiment de richesse.

En ce qui a trait à l’insécurité alimentaire, 5,1 % des participants affirment en vivre. Il s’agit environ du double de ce que rapportait l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes en 2012. Une des raisons probables est l’accès limité à certaines banques alimentaires (nombre de fois, par an, auquel un individu peut y recourir). D’autres barrières telles que la stigmatisation, le sentiment que les goûts personnels et les préférences ne seront pas respectés, la distance, l’accessibilité, les heures d’ouverture et la méconnaissance des services peuvent aussi contribuer à l’insécurité alimentaire.

Les facteurs de risque statistiquement significatifs associés à la pauvreté sont : être fumeur, anxieux ou dépressif, et subir de l’insécurité alimentaire. L’étude note que le logement social aide à atténuer certaines inégalités entre les sous-populations (55-64 vs 65 et plus, sexe, vivre seul).

Les facteurs de risque de vivre de l’insécurité alimentaire sont : avoir un poids insuffisant et considérer vivre en situation de pauvreté.

Les participants qui ont dit se sentir en sécurité alimentaire ont aussi rapporté de moins bonnes habitudes alimentaires. Ils affirment manger peu de fruits et légumes chaque semaine et avoir une diète à teneur élevée en sel, en gras et en fast-food.

Les auteurs suggèrent que, même si les logements sociaux procurent davantage de revenus aux personnes y ayant accès, la sécurité alimentaire et la qualité de la diète demeurent des enjeux. Ils affirment que la qualité de la diète devrait être mesurée. Ils émettent aussi l’hypothèse qu’elle serait liée à la littératie et à l’accessibilité physique et économique aux commerces offrant des aliments frais et sains.

Limites

Il n’est pas possible d’établir de liens de cause à effet puisqu’il s’agit d’une étude transversale. Les données sont autorapportées pour la pauvreté et l’insécurité alimentaire, ce qui peut engendrer un biais de désirabilité sociale. Une autre limite est la possibilité d’un biais dans la sélection. Le recrutement a été réalisé à l’aide d’affiches placées dans les immeubles de logements sociaux. Cela a pu entraîner la sélection des résidents les plus mobiles et en meilleure santé.

Pirrie, M, Harrison, L, Angeles, R, et collab. Poverty and food insecurity of older adults living in social housing in Ontario : a cross-sectional study (le lien est externe). BMC Public Health 20, 1320 (2020).

 

Participation sociale

L’utilisation d’outils technologiques (téléphone, message texte, courriel et vidéo) lors des communications avec des membres de la famille a-t-elle un effet équivalent au contact en personne sur l’isolement et la solitude des personnes aînées?

Contexte

Deux éléments peuvent être à la source de l’isolement social, soit des contacts sociaux peu significatifs et un petit réseau de contacts. L’isolement a des effets négatifs sur la santé, la mortalité, le bien-être et la solitude.

La solitude ou le sentiment de solitude est un sentiment négatif dû à un écart entre la quantité et la qualité de contacts sociaux désirés et les contacts vécus. De nombreuses études ont aussi associé la solitude à la mortalité, à la démence et à un faible statut fonctionnel.

Il est important de trouver des moyens de contrer l’isolement et la solitude. Les moyens de communication technologiques pourraient rapprocher les personnes âgées et les membres de leur famille.

L’étude de Burholt et collab. (2020), réalisée au Pays de Galles auprès de 2099 personnes âgées, a examiné les données portant sur l’effet de l’utilisation d’outils technologiques sur l’isolement social et le sentiment de solitude de deux cohortes, soit les personnes âgées de 65 à 74 ans et celles de 75 ans et plus.

Objectifs

Le principal objectif de cette étude est de déterminer si les communications avec les membres de la famille à l’aide d’outils technologiques (ex. : téléphone, message texte, courriel et vidéo) ont des effets équivalents au contact en personne sur la réduction de l’isolement et du sentiment de solitude.

Qu’est-ce qu’on y apprend?

L’isolement social et la solitude peuvent être causés par l’éloignement et la diminution des contacts en personne avec ses proches. Vivre à proximité d’un proche a un effet indirect et significatif sur l’isolement et la solitude par le biais de rencontres en personne.

Le téléphone, les messages texte, les courriels peuvent modérer l’effet de manque de rencontres en personne et contribuer à réduire l’isolement social. Toutefois, ce n’est pas le cas pour les communications par vidéo.

Aucune des technologies ne modifiait l’effet de manque de rencontres en personne et ne réduisait la solitude pour l’ensemble des participants à l’étude. Chez les personnes de 65 à 74 ans, le téléphone avait une influence modérée pour réduire la solitude.

Selon la revue, la solitude est influencée par les normes et les expériences personnelles. Elle pourrait être diminuée seulement si la qualité et la quantité des contacts familiaux via les outils de communication technologique correspondent aux attentes des personnes âgées.

L’étude soutient que l’influence des technologies de communication sur l’isolement social et le sentiment de solitude peut changer avec le temps. Cela peut dépendre des ressources, des préférences, de l’expérience liée à l’utilisation des outils de communication et de la culture des individus.

Tout comme les contacts en personnes, le téléphone, les messages texte et les courriels permettent de rester en contact malgré l’éloignement. Toutefois, selon cette étude, aucun moyen de communication technologique ne procurerait des bénéfices équivalents au contact en personne pour réduire le sentiment de solitude.

Limites

Pour éviter tout biais lié à la localisation, cette étude nécessiterait d’être répliquée dans d’autres régions. L’étude se limitait aussi aux contacts familiaux. Aucune donnée liée aux contacts amicaux n’a été incluse. L’ajout de données qualitatives pourrait permettre une meilleure compréhension de l’isolement et de la solitude. L’étude ne s’est pas intéressée à l’utilisation de moyens de communication multiples. Finalement, le choix de ces moyens de communication pourrait varier en fonction des capacités auditives, visuelles et fonctionnelles des individus.

Burholt, V, Windle, G, Gott, M, & Morgan, DJ. (2020). Technology-Mediated Communication in Familial Relationships: Moderated-Mediation Models of Isolation and Loneliness (le lien est externe). Gerontologist, 2020, vol. 60, no 7, 1202–1212.

 

Stimulation cognitive

L’entraînement du cerveau basé sur le jeu peut-il améliorer la fonction cognitive chez les personnes âgées vivant à domicile? Revue systématique et métarégression.

Contexte

Le vieillissement accéléré de la population augmente l’intérêt pour le développement d’interventions efficaces visant à prévenir le déclin cognitif lié à l’âge. Au cours des dernières années, des études ont démontré que l’entraînement cognitif pouvait améliorer les performances cognitives. Traditionnellement, l’entraînement était supervisé par un thérapeute. Des études récentes ont démontré que l’entraînement cognitif par l’intermédiaire de jeux conçus à cet effet pouvait augmenter l’engagement et l’adhésion des participants.

La revue systématique et la métarégression réalisées par Wang et collab. (2020) synthétisent les données de quinze études contrôlées et randomisées portant sur l’efficacité de l’entraînement cérébral basé sur le jeu par ordinateur ou via une plateforme électronique afin d’améliorer la fonction cognitive. L’échantillon était composé de 759 personnes âgées de 60 ans et plus vivant dans la communauté. Elles provenaient des États-Unis, de l’Espagne, des Pays-Bas, de la Grande-Bretagne, du Canada, de la Corée du Sud, de la Suisse et de l’Allemagne.

La taille des échantillons des études sélectionnées variait de 14 à 182 participants. Ils ont participé à des sessions (6 à 120) dont la durée était de 15 à 120 minutes. Les jeux se poursuivaient sur 2 à 24 semaines. Ils se jouaient seuls ou avec des partenaires. Trois études ont fait un suivi après l’intervention.

Objectifs

Cette revue systématique évalue l’efficacité de l’entraînement cérébral basé sur le jeu conçu pour améliorer la fonction cognitive des personnes aînées de 60 ans et plus vivant à domicile. Elle examine aussi les caractéristiques de conception des jeux qui semblent prometteuses ou efficaces et qui visent les fonctions cognitives (vitesse de traitement de l’information, attention sélective, mémoire à court terme, fonction exécutive).

Le groupe avec les interventions a été comparé à un groupe sans intervention, à un groupe sur une liste d’attente ou à un groupe placebo.

Qu’est-ce qu’on y apprend?

Les jeux conçus pour améliorer les fonctions cognitives constituent des outils prometteurs chez les personnes âgées de 60 ans et plus.

Tout d’abord, la métarégression identifie que les jeux devraient être conçus sans pression excessive liée au temps. Une période suffisante de temps pour réaliser les activités favoriserait la réaction, la concentration et la mémoire. L’inverse, une période insuffisante de temps, aurait des effets négatifs sur la vitesse de traitement de l’information, l’attention et la mémoire.

Un matériel informatique facile à utiliser, des interfaces intuitives, de grands écrans sont des adaptations techniques qui aident les personnes aînées qui sont peu familières avec les technologies informatiques.

Trois entraînements ou moins par semaine d’une durée maximum de 60 minutes ont un effet significatif sur la vitesse d’exécution.
Les jeux avec de multiples partenaires augmentent l’enthousiasme. Ils favorisent aussi les interactions et la collaboration entre les personnes aînées vivant à domicile.

Une personne-ressource pouvant résoudre rapidement les problèmes rencontrés semble être un élément-clé favorisant l’implantation du programme d’entraînement et qui en améliore l’efficacité.

Limites

Les études sélectionnées pour cette revue systématique ont de petits échantillons. Elles proviennent toutes de pays développés où il y a un accès à Internet et aux appareils mobiles. Les preuves sont faibles ou très faibles pour l’ensemble des études de cette revue systématique. Les protocoles n’ont pas été publiés pour chacune des études.

Wang G, Zhao M, Yang F, Cheng LJ, Lau Y. Game-based brain training for improving cognitive function in community-dwelling older adults: A systematic review and meta-regression(le lien est externe)Arch Gerontol Geriatr [en ligne]. 1er janv. 2021 [cité le 4 nov. 2020];92:104260. 


Rédacteurs

Cinthia Maheu, conseillère scientifique
Direction du développement des individus et des communautés

Collaborateurs
André Tourigny, médecin-conseil, spécialiste en santé publique et médecine préventive
Caroline Laberge, médecin-conseil, spécialiste en santé publique et médecine préventive
Direction du développement des individus et des communautés

Sous la coordination de
Roseline Olivier-Pilon, chef d’unité scientifique
Direction du développement des individus et des communautés

Mise en page et révision
Sophie Michel, agente administrative
Direction du développement des individus et des communautés

Équipe vieillissement en santé
Unité des stratégies préventives et parcours de vie
Direction du développement des individus et des communautés

L’inclusion des articles présentés dans ce bulletin de veille ne signifie pas leur endossement par l’Institut. Le jugement professionnel demeure essentiel pour évaluer la valeur de ces articles pour votre pratique. Vous pouvez également consulter la méthodologie de la veille scientifique en santé cognitive.