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Le suivi de la charge virale du SRAS-CoV-2 dans les eaux usées de plusieurs municipalités du Québec vise à fournir un signal en temps réel de l’évolution de l’épidémie et aide à identifier les prochaines vagues de COVID-19. Les données récoltées depuis ce printemps pour Montréal, Québec, Laval et Gatineau, révèlent que le virus circule dans la population. Toutefois, les dernières données disponibles pour la semaine du 12 au 18 juin montrent une tendance générale à la baisse pour ces grandes villes.

Le conseil d’administration de l’INSPQ a le plaisir d’annoncer la nomination de Mme Myrianne Lareau au poste de directrice des ressources humaines.

Le conseil des ministres du gouvernement du Québec a procédé, le 15 juin 2022, à la nomination de M. Pierre-Gerlier Forest en tant que président-directeur général de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Il entrera en poste le 4 juillet prochain.

Après plus de 21 ans d’histoire et 85 numéros spéciaux consacrés à la COVID-19, Les Résonances de l’Institut renouvellent leur image.

L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) officialise aujourd’hui son cadre de qualité scientifique à portée institutionnelle afin de permettre à tous ses partenaires et à un public élargi de mieux comprendre la production scientifique et les démarches qui l’accompagnent.  

L’élaboration de réponses fiables sur le plan scientifique et utiles pour la prise de décision figurent au cœur de la mission de l’Institut. La qualité a toujours été un attribut essentiel pour l’ensemble de sa production scientifique. Cette annonce vise donc à concrétiser cette promesse et à baliser l’ensemble de sa démarche.  

Du 1^er au 7 juin se déroule la semaine québécoise des personnes handicapées. C’est l’occasion de mettre en lumière les défis vécus quotidiennement par certains groupes de la population vivant avec une ou plusieurs limitations visibles ou invisibles.

Sensible à cette réalité, l’INSPQ met en œuvre, depuis plus de 10 ans, des programmes et activités visant à faciliter l’intégration et le bien-être des membres de son personnel vivant avec un handicap. Ceux-ci sont cohérents avec le plan d’action triennal 2021-2024 dont il s’est doté.

En 2031, une personne sur quatre aura 65 ans ou plus au Québec. Devant ce constat, il est essentiel de s’intéresser aux conditions qui favorisent une bonne santé et permettent à toutes les personnes de vieillir en santé et dans leur milieu plus longtemps.

C’est la proposition que fait le dernier numéro de la collection OPUS, « Des lieux pour vieillir en bonne santé ». Celui-ci présente les enjeux liés au vieillissement de la population au Québec, illustre comment l’environnement bâti et ses composantes affectent la santé des personnes aînées, et propose des solutions concrètes pour des aménagements favorables.

Alors que des cas de variole simienne ont récemment été confirmés au Québec, l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) mobilise ses diverses expertises afin de produire des connaissances scientifiques pour soutenir le réseau de la santé face à cette éclosion. Celles-ci seront rassemblées sur une page Web Variole simienne, au fur et à mesure de leur publication.

Le 17 mai est une date symbolique; le 17 mai 1990, l’homosexualité a été retirée de la liste des maladies mentales de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Depuis une vingtaine d’années, la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie est ainsi soulignée le 17 mai. Cette journée met de l’avant les crimes, violences, discriminations et inégalités qui persistent à l’endroit des personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles, trans, queer, bispirituelles (LGBTQ2+) à travers le monde, et nous rappelle que des actions sont possibles pour contrer cette réalité. Cette année, la thématique choisie au Québec pour souligner cette journée est « La montre de 54 secondes », cherchant à montrer que « la violence physique, psychologique, sexuelle, médicale et institutionnelle réduit l’espérance de vie de personnes LGBTQ2+ ».

Les enjeux éthiques liés à la santé vous passionnent? Le Comité d’éthique de santé publique (CESP) recrute trois nouvelles personnes pour contribuer à la réalisation de ses travaux.

Les profils recherchés sont :

• Éthicienne ou éthicien avec expérience, pour assumer la présidence du Comité d’éthique de santé publique.
• Membre de la population avec intérêt pour le mandat du comité et n’ayant pas de lien d’emploi direct avec le réseau de la santé ou l’avoir quitté depuis au moins deux ans.
• Avocate ou avocat avec connaissances reconnues en droit de la santé et n’ayant pas de lien d’emploi direct avec le réseau de la santé ou l’avoir quitté depuis au moins deux ans.