À la suite de l'adoption par le gouvernement québécois de la « Politique d'utilisation accrue et sécuritaire de l'amiante chrysotile au Québec », le ministère de la Santé et des Services sociaux s'est vu confier le mandat d'exercer la surveillance des expositions à l'amiante et celle des maladies qui en découlent. Ce mandat a, par la suite, été confié à l'Institut national de santé publique du Québec.
Lors de la mise sur pied d'un système de surveillance, il…