Conclusion

Les différents chapitres de ce rapport ont démontré que la violence est un problème de santé publique pouvant affecter de façon durable le développement et le bien-être des individus, de même que les collectivités auxquelles ils appartiennent. Tout en faisant ressortir l’ampleur et les multiples conséquences de la violence sur la santé, ce rapport a également démontré qu’il est possible de mettre en place des interventions pour la prévenir.

Quelques constats

On constate que les expériences de violence peuvent être vécues à tous les stades de la vie et qu’elles sont souvent liées entre elles. Plus encore, la violence tend à s’installer tôt dans la vie des Québécois, et lorsqu’elle survient à des stades précoces, elle prédit souvent des victimisations subséquentes. La figure 1 illustre ce phénomène en mettant en exergue l’exemple des liens entre la maltraitance dans l’enfance et les manifestations de violence survenant plus tard ou dans d’autres circonstances, telles que la violence dans les relations amoureuses, les agressions sexuelles, la violence conjugale et le suicide.

Figure 1 - Exemples de liens entre les types de violence abordés dans ce rapport

 

Bien que les enfants et les jeunes soient touchés par plusieurs types de violence abordés dans ce rapport (maltraitance, exposition à la violence conjugale, agressions sexuelles, violence dans les relations amoureuses, à l’école, en contexte sportif, en milieu autochtone, suicide), les adultes et les personnes aînées ne sont pas épargnés, et peuvent vivre de la violence dans leurs relations interpersonnelles et dans les milieux qu’ils fréquentent (ex. : au domicile, en milieu de travail ou d’hébergement). Les femmes sont particulièrement affectées par la violence conjugale et les agressions sexuelles.

En ce qui concerne les agressions sexuelles, elles font l’objet d’un chapitre de ce rapport, mais elles sont aussi abordées dans d’autres chapitres. Qu’il s’agisse des agressions sexuelles commises par des entraîneurs en contexte sportif, de l’agression sexuelle dans l’enfance comme facteur de risque de victimisation dans les relations amoureuses des jeunes, ou du harcèlement sexuel en milieu de travail, plusieurs exemples démontrent qu’on ne peut se limiter à aborder les diverses manifestations de violence comme des sujets distincts.

Les chapitres portant sur le milieu scolaire, le contexte sportif et le travail ont montré que ces domaines d’activité sont aussi touchés par la violence, ce qui compromet l’atteinte des finalités positives de ces activités. Les répercussions des expériences négatives dans ces contextes dépassent d’ailleurs les conséquences sur les victimes en affectant la qualité du climat social pour l’ensemble de l’entourage. L’analyse des facteurs associés à la violence à l’école, dans les sports ou au travail démontre l’influence négative d’une certaine invisibilité de la violence et d’une tolérance de diverses formes d’agressions dans ces milieux. On retient aussi le rôle central que peuvent jouer les acteurs organisationnels, à différents niveaux, dans la prévention des comportements violents.

Le chapitre qui aborde la violence vécue en milieu autochtone a permis par ailleurs d’insister sur les liens entre une violence systémique et collective perpétrée par les institutions envers certaines populations et les différentes manifestations de violence présentes à court, moyen et long terme dans les communautés.

Enfin, ce rapport a jeté un éclairage sur des problématiques moins connues ou émergentes comme le traumatisme craniocérébral non accidentel, la violence envers les athlètes en contexte sportif, la coercition reproductive en contexte conjugal, les agressions sexuelles en contexte universitaire et l’autonégligence des personnes aînées.

Ce qui existe au Québec

Le présent document a permis de faire état des différentes mesures qui ont été mises en place au Québec au cours des dernières décennies pour prévenir la violence. Certaines sont plus récentes et visent des milieux circonscrits (ex. : stratégie de lutte aux agressions sexuelles sur les campus universitaires), des groupes précis (ex. : maltraitance envers les personnes aînées) ou des circonstances particulières (ex. : politique en matière de violence conjugale, contrôle des armes à feu). D’autres initiatives de santé publique destinées aux familles sont plus globales et agissent sur plusieurs sphères du développement des enfants; elles sont maintenant reconnues comme des composantes essentielles d’une stratégie globale de prévention de la violence [1]. Ces mesures sont, dans bien des cas, appuyées par des changements législatifs et des politiques publiques (ex. : dans la Politique gouvernementale de prévention en santé). Même si ce rapport met l’accent sur des aspects préventifs plutôt que sur les services en place, l’apport d’organismes de divers secteurs (réseau de la santé et des services sociaux, réseau communautaire, services policiers, justice, etc.) qui œuvrent auprès des victimes et des personnes ayant des comportements violents se doit d’être souligné. On pense, entre autres, à leur engagement au quotidien dans des activités pour lutter contre la violence et réduire ses répercussions, et aussi à leur contribution dans la reconnaissance sociétale du problème. L’ensemble de ces efforts a permis de sensibiliser la population québécoise aux enjeux de la violence et d’entamer des changements sociaux.

Orientations prometteuses

La violence n’est pas une fatalité et il est tout à fait possible de réduire son ampleur et ses conséquences, que ce soit à l’échelle de la société, des communautés, des milieux de vie, des familles ou des individus. Les efforts déployés au fil du temps en prévention de la violence, et plus particulièrement ceux qui visent des changements sociétaux et à l’échelle des collectivités, ont contribué à la création d’un environnement social propice à l’épanouissement de relations personnelles équilibrées et non violentes. Cependant, malgré les avancées, il reste encore du travail à faire. En ce sens, certaines orientations prometteuses pour continuer à faire des gains sont proposées.

Consolider les lois et renforcer la part de la prévention dans les programmes et les plans d’action existants

La reconnaissance du caractère criminel de plusieurs manifestations de violence au Québec et au Canada est certainement un levier de prévention. Dans ce domaine, des avancées sont encore possibles, notamment dans la mise en application de ces lois et dans le traitement réservé aux victimes qui dénoncent les agressions. Compte tenu de leur effet négatif bien documenté, certaines pratiques, telles que le recours à la punition corporelle envers les enfants, pourraient aussi être complètement interdites [2]. Les interventions législatives sont d’autant plus importantes qu’en plus de protéger la population, elles se répercutent sur les normes sociales et contribuent à promouvoir une désapprobation de la violence.

Dans les plans d’action portant sur des thématiques de violence précises, le volet consacré aux mesures de prévention occupe une place moindre que d’autres volets (ex. : réponse sociojudiciaire, organisation des services), se limitant parfois à des campagnes de sensibilisation. Une attention devrait être portée pour diversifier les stratégies proposées et s’assurer qu’elles s’attaquent à des facteurs de risque à tous les niveaux du modèle écologique. L’accentuation de la part de la prévention dans les plans d’action sera d’autant plus pertinente si elle s’appuie sur les meilleures connaissances scientifiques, et qu’elle s’accompagne de mesures de soutien à la recherche dans le domaine.

Dans l’optique de favoriser l’adoption – par les nouvelles générations – de modèles relationnels fondés sur l’égalité, le respect des droits de la personne et l’inclusion sociale, les efforts déployés pour prévenir certains problèmes pourraient s’inscrire dans une perspective plus large de prévention de la violence en général. C’est pourquoi dans l’avenir, pour engager les différents milieux en prévention, il serait utile de réunir les mesures de prévention dans un plan d’action global portant sur la violence interpersonnelle sous toutes ses formes [3].

Agir tôt, dès la grossesse, et poursuivre les efforts pour agir avant que les problèmes n’apparaissent 

Le rôle des premières expériences de violence dans la revictimisation et l’adoption possible de comportements violents, tout comme les conséquences à long terme de ces expériences sur la santé, appuient la pertinence d’efforts soutenus pour prévenir la maltraitance et les agressions sexuelles dans l’enfance [4,7]. À titre d’exemple, il est essentiel d’agir le plus précocement possible afin d’éviter que la violence ne s’installe dans les relations amoureuses des jeunes, et d’intervenir auprès des enfants exposés à la violence conjugale pour éviter la transmission de cette violence à travers les générations. Prévenir la violence avant qu’elle ne survienne signifie à la fois intervenir à des stades précoces de la vie, c’est-à-dire dès la grossesse, dans l’enfance et à l’adolescence, mais également tout au cours de la vie en ciblant des facteurs en amont. Une analyse transversale des connaissances scientifiques propres à plusieurs types de violence a permis de dégager des facteurs de risque et de protection susceptibles de jouer un rôle dans l’étiologie de plusieurs problèmes associés à la violence, et donc à fort potentiel de prévention [8]. Par exemple, les dysfonctionnements dans la famille sont associés à presque toutes les formes de perpétration d’actes violents (mauvais traitements à l’endroit des enfants, violence dans les relations amoureuses, violence conjugale, agression sexuelle, violence entre les jeunes et intimidation). Ainsi, des programmes qui visent le développement d’habiletés parentales et qui améliorent les relations au sein des familles comportent un potentiel de prévention qui se répercute dans divers stades de la vie.

Dans son rapport mondial, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) invitait à exploiter les liens qui existent entre les différents types de violence, et faisait ressortir les chevauchements dans les facteurs de risque [9]. Citons, par exemple, les inégalités entre les sexes, la pauvreté et des conditions de vie difficiles, des normes sociales tolérant la violence et la consommation abusive d’alcool qui ressortent souvent comme des facteurs de risque de violence, et ce, quel que soit la nature de la violence, le type de relation ou le milieu dans lequel elle est exercée [3,10]. De plus, de nombreux problèmes structuraux et l’effet de déterminants sociaux limitent les personnes et les communautés dans l’atteinte de leur plein potentiel et les exposent à un risque accru de violence [9]. C’est notamment le cas du racisme, du sexisme et de l’exclusion sociale [11]. Pour réduire la violence à l’échelle de la société et briser la transmission intergénérationnelle, il est donc essentiel de cibler les facteurs communautaires et sociétaux [12], et ce, par des actions en amont pour faire progresser les conditions sociales (revenu, éducation, logement) et améliorer la qualité dans des milieux de vie [13].

Développer des stratégies de prévention susceptibles d’agir globalement sur plus d’un problème à la fois

L’importance de développer une perspective décloisonnée des types de violence est de plus en plus reconnue [3,14]. Cette perspective est essentielle pour mieux cibler les facteurs associés à la violence et mettre en place des mesures de prévention qui agissent sur ces derniers. Elle apparaît aussi prometteuse pour promouvoir au sein des communautés les facteurs protecteurs, comme le soutien social. Au Québec, bien que des initiatives récentes tentent de faire des rapprochements entre les problèmes de violence, cette vision pourrait être davantage promue (voir encadré 1).

Améliorer les connaissances

Les différents chapitres de ce rapport ont montré la variabilité dans l’état des connaissances sur l’ampleur de la violence au Québec, les facteurs associés et ses conséquences selon les stades de la vie et les contextes dans lesquels la violence est vécue. De plus, les études sur la violence vécue par certains groupes marginalisés (ex. : jeunes de la diversité sexuelle, femmes racisées, personnes handicapées) demeurent limitées et peu diffusées. La recherche scientifique et le développement des connaissances doivent se poursuivre, notamment pour que les programmes de prévention soient adaptés aux diverses réalités.

Afin de prévenir globalement la violence, les activités de recherche qui décloisonnent les problématiques, et qui permettent de mieux comprendre ce qu’il est possible de faire pour réduire les séquelles des expériences de violence et de mettre en place des interventions préventives qui misent sur des facteurs de protection susceptibles d’agir sur plus d’un problème à la fois sont essentielles [3]. Il va sans dire que les interventions préventives doivent faire l’objet d’évaluations rigoureuses et que les connaissances devront être accessibles aux acteurs de divers secteurs, afin de renforcer les capacités en matière de prévention [3]. Le réseau de la santé publique peut jouer un rôle important à cet égard.

Mettre en commun et favoriser la synergie entre les expertises disponibles au Québec

La mise en commun, dans un même ouvrage, d’expertises sur une variété de manifestations de violence, et ce, présentée sous une perspective de santé publique, se veut en phase avec les orientations discutées précédemment. Comme cela a été souligné tout au long de cet ouvrage, pour contrer la violence dans une société, il est judicieux d’adopter une approche globale, décloisonnée et qui considère l’ensemble des stades de la vie. Pour ce faire, les différents réseaux pouvant jouer un rôle en prévention de la violence ainsi que la communauté scientifique doivent accentuer les efforts pour favoriser la synergie des expertises à travers des partenariats réunissant des décideurs, des chercheurs et des intervenants d’horizons multiples, et s’intéressant à une diversité de problématiques pour créer un réseau en prévention de la violence. La publication d’un rapport québécois sur la violence et la santé se veut un pas dans cette direction. 

Promotion de la sécurité dans la communauté

Comme démontré dans ce rapport, il est possible de tracer plusieurs liens entre les diverses manifestations de violence commise dans une communauté donnée. Bien qu’il soit d’une grande importance de bien comprendre chacune des manifestations de la violence pour intervenir efficacement, il peut être pertinent de s’intéresser à l’ensemble des manifestations de la violence et à la communauté au sein de laquelle elles se manifestent. Cette communauté peut être un milieu de vie (telle une école) ou être ancrée dans un territoire (à l’exemple d’un quartier), mais elle peut également correspondre à un groupe qui partage une même identité, qu’elle soit culturelle, de genre ou autres. Quelle que soit la communauté sur laquelle nous portons un intérêt, il est généralement admis qu’elle sera confrontée à plusieurs problèmes de violence qui sévissent au cours d’une même période et qui se répercutent sur l’ensemble des individus, qu’ils en soient témoins, auteurs ou victimes.

Le fait de s’intéresser aux différentes manifestations de violence dans une communauté plutôt que de les regarder indépendamment les unes des autres permet notamment :

  • Une mutualisation des ressources disponibles dans un but commun [9,14];
  • Une réponse globale aux besoins de sécurité de la communauté;
  • Un gain d’efficacité et un risque réduit de chevauchements dans les interventions [9];
  • Un arrimage plus naturel entre ceux qui ont parmi leurs responsabilités d’assurer la sécurité de leur milieu (ex. : les policiers, les élus municipaux, les directeurs d’école) ou de leur communauté.

C’est dans cette perspective qu’a été développée au cours des dernières années une approche de promotion de la sécurité orientée sur la communauté. Cette approche permet de tenir compte de l’ensemble des problèmes de sécurité, des liens qui existent entre eux et des solutions transversales qui peuvent être déployées [15].

La sécurité est un état où les dangers et les conditions pouvant provoquer des dommages d’ordre physique, psychologique ou matériel sont contrôlés de manière à préserver la santé et le bien-être des individus et de la communauté [16].

L’approche repose sur une définition inclusive de la sécurité (voir encadré). Cette définition reconnaît une composante objective et une composante subjective. La composante objective réfère aux événements vécus ou observés. La composante subjective réfère au ressenti et aux perceptions. De plus, cette approche suggère la présence d’au moins quatre conditions pour assurer la sécurité de la population. Ces conditions sont :

  • Un climat de cohésion, de paix sociale et d’équité protégeant les droits et libertés (ex. : une société où il n’y a pas d’âgisme, d’inégalités liées au genre, où il existe un climat d’entraide entre les individus et les groupes);
  • Le contrôle des dangers présents dans l’environnement (ex. : le retrait d’une arme à feu dans une résidence, un environnement bâti qui réduit les risques d’agressions et qui permet aux individus d’être toujours bien orientés dans l’espace, d’être vus et d’avoir un accès facile à des secours le cas échéant);
  • Le respect entre les individus de leurs valeurs et de leur intégrité physique, psychologique et matérielle (ex. : une communauté où les individus peuvent jouir de leur environnement et de leurs biens sans avoir peur d’être attaqués, vandalisés ou volés);
  • L’accès à des moyens efficaces de prise en charge et de réhabilitation (ex. : l’accès à des maisons d’hébergement pour venir en aide aux victimes de violence conjugale et aux enfants qui y sont exposés [16]).

Pour actualiser cette approche et soutenir le cheminement jusqu’à la mise en œuvre d’actions cohérentes avec les besoins et les problèmes pressentis dans un milieu de vie donné, une démarche structurée comportant quatre étapes est suggérée. Dans un contexte de violence, ces étapes peuvent être décrites comme suit :

  • La mobilisation de partenaires autour d’un objectif commun, soit de réduire les manifestations de violence dans un milieu donné;
  • Le partage de l’ensemble des connaissances de manière à favoriser une compréhension commune des manifestations de la violence dans le milieu;
  • La documentation des circonstances entourant les manifestations de violence;
  • La planification des actions préventives basée sur les facteurs de risque et de protection relatifs aux individus et aux relations qu’ils entretiennent avec leur entourage, de même que ceux relatifs aux communautés et à la société dans laquelle ils vivent (inspiré de Maurice et collaborateurs [15]).
Pour soutenir cette démarche, plusieurs outils ont été développés pour promouvoir la sécurité dans un milieu de vie. Ils sont réunis dans la collection Vivre en sécurité, se donner les moyens1  et sont tous accessibles sur le Web.

Références

  1. OMS, Liverpool John Moores University. Prévenir la violence: les faits. Genève : Organisation mondiale de la santé, 2013.
  2. MacMillan H. L., Mikton C. R. « Moving research beyond the spanking debate ». Child Abuse Negl. [En ligne]. septembre 2017. Vol. 71, p. 5‑8. Disponible sur : < https://doi.org/10.1016/j.chiabu.2017.02.012 >
  3. Organisation mondiale de la santé. Rapport de situation 2014 sur la prévention de la violence dans le monde. Genève, Suisse : Organisation mondiale de la santé, 2014.
  4. Etherington N. A., Baker L. L. Links between the maltreatment of girls dans later victimization or use of violence. London, Ontario : Centre for Research and Education on Violence against Women and Children, 2017.
  5. Hébert M. et al. « Child Sexual Abuse as a Risk Factor for Teen Dating Violence: Findings from a Representative Sample of Quebec Youth ». J. Child Adolesc. Trauma [En ligne]. 2017. Vol. 10, n°1, p. 51‑61. Disponible sur : < https://doi.org/10.1007/s40653-016-0119-7 >
  6. Norman R. E. et al. « The long-term health consequences of child physical abuse, emotional abuse, and neglect: a systematic review and meta-analysis ». PLOS Med. [En ligne]. 2012. Vol. 9, n°1549‑1676 (Electronic), p. e1001349. Disponible sur : < https://doi.org/10.1371/journal.pmed.1001349 >
  7. Perreault S. La victimisation criminelle au Canada, 2014. Ottawa : Statistique Canada, 2015. (Juristat vol. 35 no 1).
  8. Wilkins et al. Connecting the dots: An Overview of the Links Among Multiple Forms of Violence. Oakland : Centers for Disease Control and Prevention, Prevention Institute, 2014.
  9. Krug E. G. et al. Rapport mondial sur la violence et la santé. [En ligne]. Genève : Organisation mondiale de la santé, 2002. Disponible sur : < http://www.who.int/violence_injury_prevention/violence/world_report/fr/… >
  10. Organisation mondiale de la santé. INSPIRE: sept stratégies pour mettre fin à la violence à l’encontre des enfants. [En ligne]. [s.l.] : Organisation mondiale de la santé, 2015. Disponible sur : < http://www.who.int/violence_injury_prevention/violence/inspire/fr/ >
  11. Mallach E. R. et al. « Status report - Public Health 2016: time for a cultural shift in the field of public health ». Health Promot. Chronic Dis. Prev. Can. Res. Policy Pract. novembre 2016. Vol. 36, n°11, p. 261‑262.
  12. Organisation mondiale de la santé, London School of Hygiene and Tropical Medicine. Prévenir la violence entre partenaires intimes et la violence sexuelle contre les femmes. Intervenir et produire des données. Genève : Organisation mondiale de la santé, 2010.
  13. Parks L. F. et al. A Health Equity and Multisector Approach to Preventing Domestic Violence. Oakland, CA : Prevention Institute, 2017.
  14. Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Preventing Multiple Forms of Violence: A Strategic Vision for Connecting the Dots. Atlanta : National Center for Injury Prevention and Control, Centers for Disease Control and Prevention, 2016.
  15. Maurice P. et al. « Promotion de la sécurité et son approche par milieu de vie : considérations théoriques et pratiques ». Rev. L’IPC. 2008. Vol. 2, n°35‑56,.
  16. Maurice P. et al. Sécurité et promotion de la sécurité : aspects conceptuels et opérationnels. Québec : Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes, 1998.